BootsnAll Travel Network



Archive for May, 2011

« Home

18 Mai : froid, neige et ruines préhistoriques

Monday, May 23rd, 2011
Alors que la nuit a été finalement pas mauvaise, nous entendons un bruit qui n’annonce rien de bon au même moment que le soleil se lève : des gouttes tombent sur la tente ! Lorsque nous nous levons et sortons, nous nous appercevons qu’en fait il s’agit plutôt de neige fondu, il faut dire qu’il ne fait pas plus de 5 degrés. Nous prenons rapidement la décision d’éviter un petit déjeuner dehors et prenons la direction du centre de visite du parc où nous prenons un très agréable petit déjeuner dans la voiture réchauffée après les quelques kilomètres de route puis nous arrêtons dans le restaurant du parc pour prendre une boisson chaude en espérant que le temps s’améliore mais désormais il neige vraiment dehors ! Ca ne tient pas mais les visites sont toutes en extérieur…
Nous commençons les visites, sous une rare éclaircie, avec un tour de Cliff Palace (avec près de 200 pièces). Mesa Verde est en fait un site préhistorique où les Publeans (les ancètres des groupes indiens actuels) vivaient entre 600 et 1400. Situé sur un plateau creusé de nombreuses vallées, ils ont d’abord habité massivement sur le plateau avant de trouver refuge dans les falaises contenant de nombreux creux où il était plus simple de construire et d’être protégé des éléments… Ces dernières constructions à l’abri des intempéris et situés dans une zone aride (même si nous ne voyons pas cet aspect aujourd’hui) se sont bien conservés et dès le début du XXème siècle ont été protégé. Aujourd’hui, il est donc possible de visiter ces nombreuses ruines impressionantes. N’utilisant pas l’écriture, il est néanmoins difficile de connaître exactement le passé et les traditions de ces cultures sauf par analogisme avec les nations indiennes d’aujourd’hui et ainsi, par exemple, nous ne savons pas pourquoi ils ont quitté précipitamment ces habitations. La visite, guidée par un ranger enthousiaste et passionnée par cette culture, permet d’avoir tout de même une bonne idée des conditions de vie difficiles : climat, nourriture, recherche de l’eau, et une bonne explication des batiments que nous visitons.
Sous une pluie froide et après un pique nique dans la voiture, nous visitons un deuxième ‘pueblo’ dans les falaises. Il est peut être un peu moins impressionant que le premier mais le parcours, à la Indiana Jones (échelle, rampage, passage de tunnel), pour y arriver vaut le détour. A l’arrivée, un village bien caché avec, à l’époque, un unique moyen d’y arriver et des batiments encore une fois en excellente condition si l’on considère qu’ils ne sont faits que de pierres (qu’il a fallu apporter une à une) et de terre.
Pour nous réchauffer, nous visitons le musée du parc qui reprend l’histoire de ce peuple et détaille ce que l’on connait d’eux: la poterie, les habitudes culinaires basées sur le maïs, les haricots et les courgettes pour l’agriculture, ainsi que la chasse et la ceuillette, l’architecture… Il n’y a pas moins de 500 sites archéologiques dans le parc, cela laisse du travail ! Nous continuons la visite par un autre pueblo, sans doute le mieux conservé, puis finissons la journée par une visite / voiture : nous nous déplaçons de site en site en voiture avec un court arrêt à chaque fois. Cela est assez fréquent dans les parcs et est souvent fatiguant de ne pas arrêter de monter et descendre de voiture. Il semble que ce soit l’un des modes de visite préféré des américains qui ont toujours quelques problèmes à quitter leur voiture de plus de quelques mètres. En général, nous essayons toujours de varier en évitant de passer la journée dans la voiture mais avec le temps aujourd’hui, finalement ce type de visite tombe bien.
Reprenant la route du camping, nous remontons en altitude et trouvons un paysage blanc : il a neigé toute la journée mais bonne nouvelle, le temps semble s’éclaircir. Notre dernière visite en haut du plateau pour voir de vraies ruines se fait en effet sous le soleil qui tout de suite réchauffe un peu et donne l’occasion de quelques belles photos entre neige et soleil.
De retour à notre tente, nous commençons par dégager la neige et dans le froid, nous préparons rapidement le diner avant de passer la soirée dans la tente le temps d’un Scrabble. Le camping, à moitié plein hier, ne contient plus que quelques courageux bravant la neige et le froid… Il est un peu plus de 21h lorsque nous allons nous coucher et il fait déjà 0 degré : la nuit s’annonce vraiment froide, espérons que demain, le soleil revienne avec la chaleur.

Alors que la nuit a été finalement pas mauvaise, nous entendons un bruit qui n’annonce rien de bon au même moment que le soleil se lève : des gouttes tombent sur la tente ! Lorsque nous nous levons et sortons, nous nous appercevons qu’en fait il s’agit plutôt de neige fondu, il faut dire qu’il ne fait pas plus de 5 degrés. Nous prenons rapidement la décision d’éviter un petit déjeuner dehors et prenons la direction du centre de visite du parc où nous prenons un très agréable petit déjeuner dans la voiture réchauffée après les quelques kilomètres de route puis nous arrêtons dans le restaurant du parc pour prendre une boisson chaude en espérant que le temps s’améliore mais désormais il neige vraiment dehors ! Ca ne tient pas mais les visites sont toutes en extérieur… Nous commençons les visites, sous une rare éclaircie, avec un tour de Cliff Palace (avec près de 200 pièces). Mesa Verde est en fait un site préhistorique où les Publeans (les ancètres des groupes indiens actuels) vivaient entre 600 et 1400. Situé sur un plateau creusé de nombreuses vallées, ils ont d’abord habité massivement sur le plateau avant de trouver refuge dans les falaises contenant de nombreux creux où il était plus simple de construire et d’être protégé des éléments… Ces dernières constructions à l’abri des intempéris et situés dans une zone aride (même si nous ne voyons pas cet aspect aujourd’hui) se sont bien conservés et dès le début du XXème siècle ont été protégé. Aujourd’hui, il est donc possible de visiter ces nombreuses ruines impressionantes. N’utilisant pas l’écriture, il est néanmoins difficile de connaître exactement le passé et les traditions de ces cultures sauf par analogisme avec les nations indiennes d’aujourd’hui et ainsi, par exemple, nous ne savons pas pourquoi ils ont quitté précipitamment ces habitations. La visite, guidée par un ranger enthousiaste et passionnée par cette culture, permet d’avoir tout de même une bonne idée des conditions de vie difficiles : climat, nourriture, recherche de l’eau, et une bonne explication des batiments que nous visitons. Sous une pluie froide et après un pique nique dans la voiture, nous visitons un deuxième ‘pueblo’ dans les falaises. Il est peut être un peu moins impressionant que le premier mais le parcours, à la Indiana Jones (échelle, rampage, passage de tunnel), pour y arriver vaut le détour. A l’arrivée, un village bien caché avec, à l’époque, un unique moyen d’y arriver et des batiments encore une fois en excellente condition si l’on considère qu’ils ne sont faits que de pierres (qu’il a fallu apporter une à une) et de terre. Pour nous réchauffer, nous visitons le musée du parc qui reprend l’histoire de ce peuple et détaille ce que l’on connait d’eux: la poterie, les habitudes culinaires basées sur le maïs, les haricots et les courgettes pour l’agriculture, ainsi que la chasse et la ceuillette, l’architecture… Il n’y a pas moins de 500 sites archéologiques dans le parc, cela laisse du travail ! Nous continuons la visite par un autre pueblo, sans doute le mieux conservé, puis finissons la journée par une visite / voiture : nous nous déplaçons de site en site en voiture avec un court arrêt à chaque fois. Cela est assez fréquent dans les parcs et est souvent fatiguant de ne pas arrêter de monter et descendre de voiture. Il semble que ce soit l’un des modes de visite préféré des américains qui ont toujours quelques problèmes à quitter leur voiture de plus de quelques mètres. En général, nous essayons toujours de varier en évitant de passer la journée dans la voiture mais avec le temps aujourd’hui, finalement ce type de visite tombe bien. Reprenant la route du camping, nous remontons en altitude et trouvons un paysage blanc : il a neigé toute la journée mais bonne nouvelle, le temps semble s’éclaircir. Notre dernière visite en haut du plateau pour voir de vraies ruines se fait en effet sous le soleil qui tout de suite réchauffe un peu et donne l’occasion de quelques belles photos entre neige et soleil. De retour à notre tente, nous commençons par dégager la neige et dans le froid, nous préparons rapidement le diner avant de passer la soirée dans la tente le temps d’un Scrabble. Le camping, à moitié plein hier, ne contient plus que quelques courageux bravant la neige et le froid… Il est un peu plus de 21h lorsque nous allons nous coucher et il fait déjà 0 degré : la nuit s’annonce vraiment froide, espérons que demain, le soleil revienne avec la chaleur.

17 Mai : vers les sommets

Monday, May 23rd, 2011
La nuit a été plutôt bonne et pas trop froide… en plus il n’a pas plu mais les nuages ce matin sont menaçant surtout en direction des montagnes que nous devons traverser aujourd’hui.
Nous démarrons la journée avec Ouray que nous avions apperçu hier via les sources d’eau chaude. Ce matin, c’est plutôt version douche froide avec une fine pluie et pas plus de quelques degrés au thermomètre. La ville se surnomme la Suisse du Colorado mais il doit y avoir peu de personnes qui sont allés en Suisse pour vérifier la ressemblance: excepté le fait que la ville est entourée de montagne, elle ressemble plutôt à une petite ville de l’ouest américain avec 1 rue centrale composée de plusieurs buildings d’époque (fin du XIXème siècle), c’est à dire le style western et 2 rues parallèle non goudronnée qui donnent sur des maisons victoriennes ou quelques autres bâtisses d’époque. La ville ne manque donc pas de charme même sous la pluie mais c’est un peu loin du village suisse… Avec la pluie qui s’arrête, nous nous promenons pour rejoindre une cascade au nord de la ville : bizarrement, il est difficile de la voir voire même impossible, elle s’enfonce tellement dans un canyon que nous ne pouvons qu’entendre le bruit fracassant entre les murs du canyon de l’eau qui tombe. Même en montant au dessus du canyon, nous ne pouvons seulement voir l’eau qui disparaît et qui réapparaît plus bas, mais la vue panoramique sur la ville offre une belle consolation avec notamment une cascade (que l’on peut voir) de l’autre côté de la ville. La ville, plus un village en fait de quelques 800 âmes qui ne vit aujourd’hui que du tourisme ou presque, était une ville minière et notamment de l’or (à l’époque de la ruée vers l’or). Aujourd’hui il reste de nombreuses traces de mînes mais toutes ont fermés depuis plusieurs dizaines d’année. D’ailleurs toute la région que nous allons traverser aujourd’hui à le même parcours : création et richesse via le minerais puis période de crise puis renaissance via le tourisme… Il faut dire qu’il y a à faire entre l’hiver et le ski, et l’été et les activités de montagnes (VTT, rando, rafting…).
Nous prenons la route qui rapidement monte en altitude et la neige fait son apparition : aussi bien sur les montagnes et le bord de la route que dans le ciel, et dire qu’en février, nous campions en Floride en short et T-shirt… Ici, c’est mi-mai et c’est encore l’hiver. Il faut dire que la route s’élève jusqu’à plus de 3300m soit plus haut que le sommet sur lequel nous avions skié cet hiver en France. Les paysages, malgré les nuages et la neige, sont somptueux et nous avons vraiment l’impression d’être en hiver. Dommage que nous n’ayons pas les skis de fonds… Finalement, nous redescendonc un peu pour rejoindre Siverton : une ville qui était ville fantôme il y a encore quelques décennies et qui revit grâce au tourisme qu’amène une attraction principale : le train touristique entre Durango et Silverton : 70km environ passant par des canyons et la montagne. Nous n’avons pas pris le train mais avons vu combien de touristes il apportait et comprenons aussi pourquoi ils sont attirés par ce joli train à vapeur construit pour les besoins des mînes il y a 125 ans. Sur place, nous nous habillons de tous nos habits pour sortir alors qu’il neige encore et qu’il fait bien froid. La ville ne fait que 2 rues plus quelques rues transversales. Elle est composée de restaurants, d’hôtels, de quelques magasins de souvenirs, et d’habitations pour ceux qui n’ont pas peur d’un hiver qui doit durer au moins 7 mois. De peur de rester congeler sur place, nous abandonnons notre pique nique dans la voiture pour le comfort d’un restaurant qui s’anime à l’arrivée d’un train, puis repartant dans la neige, nous faisons un arrêt surprenant et qui réchauffe : une distillerie produisant du rhum. Rien de tel qu’une scéance de dégustation pour se réchauffer !
Nous repartons vers de nouveaux sommets, la route montant vers 2 passes au dessus de 3200m, la neige est en quantité incroyable et il continue toujours de tomber quelques flocons. Ce qu’il y a de surprenant est que la route elle-même n’est pas une route de montagne française ou de grandes montagnes, elle monte, il y a quelques lacets mais très peu et souvent de longues lignes droites dans des vallées creusées par des glaciers à plus de 3000m d’altitude, s’il n’y avait pas la neige, on pourrait difficilement croire que nous sommes si haut !
Finalement, nous redescendons vers Durango pour une étape “réchauffage”. Avec le soleil revenu et la faible altitude (autour de 1700m : cela fait une éternité que nous n’avons pas été aussi bas !), il fait bien meilleur : pas de neige et on peut même se ballader en T-shirt au soleil. La ville possède une chose assez précieuse : un vrai centre ville avec de vrais magasins (pas que des boutiques de souvenirs et des galleries d’art). Nous nous baladons 2 petites heures en faisant un arrêt à la gare du train touristique et son musée… La ville, une vraie base pour les sports outdoors et notamment le VTT, est vraiment agréable et donne un bon feeling…
Notre destination pour la soirée est Mesa Verde, le point de départ de notre marathon des parcs nationaux du sud ouest américain. Le parc n’est qu’à quelques dizaines de kilomètres de Durango mais nous avons une désagréable surprise à notre arrivée: le camping se situe sur le Mesa (plateau) à 2500m d’altitude environ, soit là où il fait plus froid. En cette fin de journée, la température est supportable pour planter la tente et le diner mais avec le ciel qui se couvre, nous espérons que le temps va se maintenir d’autant que la météo annonce le passage d’un front froid ces 4 prochains jours !

La nuit a été plutôt bonne et pas trop froide… en plus il n’a pas plu mais les nuages ce matin sont menaçant surtout en direction des montagnes que nous devons traverser aujourd’hui. Nous démarrons la journée avec Ouray que nous avions apperçu hier via les sources d’eau chaude. Ce matin, c’est plutôt version douche froide avec une fine pluie et pas plus de quelques degrés au thermomètre. La ville se surnomme la Suisse du Colorado mais il doit y avoir peu de personnes qui sont allés en Suisse pour vérifier la ressemblance: excepté le fait que la ville est entourée de montagne, elle ressemble plutôt à une petite ville de l’ouest américain avec 1 rue centrale composée de plusieurs buildings d’époque (fin du XIXème siècle), c’est à dire le style western et 2 rues parallèle non goudronnée qui donnent sur des maisons victoriennes ou quelques autres bâtisses d’époque. La ville ne manque donc pas de charme même sous la pluie mais c’est un peu loin du village suisse… Avec la pluie qui s’arrête, nous nous promenons pour rejoindre une cascade au nord de la ville : bizarrement, il est difficile de la voir voire même impossible, elle s’enfonce tellement dans un canyon que nous ne pouvons qu’entendre le bruit fracassant entre les murs du canyon de l’eau qui tombe. Même en montant au dessus du canyon, nous ne pouvons seulement voir l’eau qui disparaît et qui réapparaît plus bas, mais la vue panoramique sur la ville offre une belle consolation avec notamment une cascade (que l’on peut voir) de l’autre côté de la ville. La ville, plus un village en fait de quelques 800 âmes qui ne vit aujourd’hui que du tourisme ou presque, était une ville minière et notamment de l’or (à l’époque de la ruée vers l’or). Aujourd’hui il reste de nombreuses traces de mînes mais toutes ont fermés depuis plusieurs dizaines d’année. D’ailleurs toute la région que nous allons traverser aujourd’hui à le même parcours : création et richesse via le minerais puis période de crise puis renaissance via le tourisme… Il faut dire qu’il y a à faire entre l’hiver et le ski, et l’été et les activités de montagnes (VTT, rando, rafting…). Nous prenons la route qui rapidement monte en altitude et la neige fait son apparition : aussi bien sur les montagnes et le bord de la route que dans le ciel, et dire qu’en février, nous campions en Floride en short et T-shirt… Ici, c’est mi-mai et c’est encore l’hiver. Il faut dire que la route s’élève jusqu’à plus de 3300m soit plus haut que le sommet sur lequel nous avions skié cet hiver en France. Les paysages, malgré les nuages et la neige, sont somptueux et nous avons vraiment l’impression d’être en hiver. Dommage que nous n’ayons pas les skis de fonds… Finalement, nous redescendonc un peu pour rejoindre Siverton : une ville qui était ville fantôme il y a encore quelques décennies et qui revit grâce au tourisme qu’amène une attraction principale : le train touristique entre Durango et Silverton : 70km environ passant par des canyons et la montagne. Nous n’avons pas pris le train mais avons vu combien de touristes il apportait et comprenons aussi pourquoi ils sont attirés par ce joli train à vapeur construit pour les besoins des mînes il y a 125 ans. Sur place, nous nous habillons de tous nos habits pour sortir alors qu’il neige encore et qu’il fait bien froid. La ville ne fait que 2 rues plus quelques rues transversales. Elle est composée de restaurants, d’hôtels, de quelques magasins de souvenirs, et d’habitations pour ceux qui n’ont pas peur d’un hiver qui doit durer au moins 7 mois. De peur de rester congeler sur place, nous abandonnons notre pique nique dans la voiture pour le comfort d’un restaurant qui s’anime à l’arrivée d’un train, puis repartant dans la neige, nous faisons un arrêt surprenant et qui réchauffe : une distillerie produisant du rhum. Rien de tel qu’une scéance de dégustation pour se réchauffer ! Nous repartons vers de nouveaux sommets, la route montant vers 2 passes au dessus de 3200m, la neige est en quantité incroyable et il continue toujours de tomber quelques flocons. Ce qu’il y a de surprenant est que la route elle-même n’est pas une route de montagne française ou de grandes montagnes, elle monte, il y a quelques lacets mais très peu et souvent de longues lignes droites dans des vallées creusées par des glaciers à plus de 3000m d’altitude, s’il n’y avait pas la neige, on pourrait difficilement croire que nous sommes si haut ! Finalement, nous redescendons vers Durango pour une étape “réchauffage”. Avec le soleil revenu et la faible altitude (autour de 1700m : cela fait une éternité que nous n’avons pas été aussi bas !), il fait bien meilleur : pas de neige et on peut même se ballader en T-shirt au soleil. La ville possède une chose assez précieuse : un vrai centre ville avec de vrais magasins (pas que des boutiques de souvenirs et des galleries d’art). Nous nous baladons 2 petites heures en faisant un arrêt à la gare du train touristique et son musée… La ville, une vraie base pour les sports outdoors et notamment le VTT, est vraiment agréable et donne un bon feeling… Notre destination pour la soirée est Mesa Verde, le point de départ de notre marathon des parcs nationaux du sud ouest américain. Le parc n’est qu’à quelques dizaines de kilomètres de Durango mais nous avons une désagréable surprise à notre arrivée: le camping se situe sur le Mesa (plateau) à 2500m d’altitude environ, soit là où il fait plus froid. En cette fin de journée, la température est supportable pour planter la tente et le diner mais avec le ciel qui se couvre, nous espérons que le temps va se maintenir d’autant que la météo annonce le passage d’un front froid ces 4 prochains jours !

Direction: Taos, New Mexico

Sunday, May 22nd, 2011
May 10th-12th On an intense trip like ours, sometimes we need to take off a day or an afternoon to catch up. That’s what we’re doing today. I’m about two weeks behind on my blog journal. The last two weeks will ... [Continue reading this entry]

Reunion in Santa Fe

Sunday, May 22nd, 2011
May 7th-10th Santa Fe is the quaint capital of New Mexico as well as the home of two good friends of ours we met while living in Prague, Kristen and Joseph. Actually, we met Kristen in Prague and then Joseph came ... [Continue reading this entry]

Acoma Pueblo and Albuquerque (New Mexico)

Sunday, May 22nd, 2011
May 7th We awoke on Saturday morning, ready for a new day, a little weary of sightseeing, but excited to see our friends in Santa Fe. There were, however, a couple of sites to see en route. We started the day ... [Continue reading this entry]

The Painted Desert, the Petrified Forest and Route 66 (Arizona)

Sunday, May 22nd, 2011
May 6th Our first glimpse of the Painted Desert was from the Grand Canyon. Far off in the distance, you could see the pink, blue and yellow tinted sands. We arrived in the park early in the morning when the light ... [Continue reading this entry]

Recovery and Ruins (Flagstaff region)

Tuesday, May 17th, 2011
May 4th-May 5th On the road back to Flagstaff, we made a stop-off at Sunset Volcano. Though are legs were still aching from the early morning climb out of the Grand Canyon, we decided it would better to stretch them again ... [Continue reading this entry]

16 Mai : la montagne, ça vous gagne

Tuesday, May 17th, 2011
Enfin une excellente nuit de sommeil, juste réveillé par Jenny qui est allé aux toilettes en pleine nuit et par le soleil du matin... Lorsqu'il ne fait pas trop froid, comme ce matin, c'est vraiment agréable de se lever en ... [Continue reading this entry]

15 Mai : Black Canyon

Tuesday, May 17th, 2011
Aujourd'hui, après une nuit de nouveau placé sous le signe du froid mais avec un beau ciel bleu pour nous réveiller, nous prenons rapidement nos affaires pour une randonnée le long du canyon : quelques kilomètres pour profiter de vues ... [Continue reading this entry]

14 Mai : voyage dans les Rocheuses…

Tuesday, May 17th, 2011
Encore une fois, il a fait froid cette nuit et nous sommes impatient de redescendre un peu pour retrouver la chaleur mais ça ne sera pas pour aujourd'hui puisque nous allons continuer notre parcours dans les Rocheuses. Avant cela, nous ... [Continue reading this entry]