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La fin de notre séjour en Roumanie

Jenny arriva en France le 21 Décembre, le jour de l’hiver et elle eut la surprise de trouver l’aéroport sous la neige si bien que son vol à l’origine à l’heure fût retardé à l’arrivée lorsque les agents de l’aéroport de Beauvais euent besoin de temps pour déneiger la passerelle permettant la descente (aucun commentaire sur le fait qu’ils auraient pu le faire avant…). Le même jour, notre déménagement était dans la rue. Le chauffeur, seul, avait fait la route durant le week end et était arrivé la veille du jour attendu et donc allait dormir dans son camion avant de décharger le lendemain. Quant à moi, je profitais de mon avant dernier jour au travail pour continuer la préparation de mon départ, et célébrer avec les collégues qui ont le plus compté pour moi : déjeuner avec tous mes managers, et soirée chaleureuse et arrosée avec mes 2 bras droits ces dernières années Raul et George jusqu’à 1 heure du mat’.
Le 22 Décembre, le camion fût donc déchargé sans encombre, une belle étape de faite! Alors que je passais mon dernier jour au travail à Bucarest (voir post correspondant), Jenny commençait à organiser notre futur séjour sur Amiens qui allait être notre camp de base pour les 6 prochaines semaines.
Le 23 Décembre, je disais un au revoir final à notre appartement à Bucarest et donc rendait les clefs au propriétaire. Evidemment un peu de nostalie au moment de fermer la porte mais en fait je n’ai pas vraiment eu le temps d’y penser car le programme de ce dernier jour était très chargé: nettoyage final, préparation de mes bagages (et faire tout rentrer dans 2 sacs ne fût pas si facile), échange de mes derniers RON (la monnaie roumaine), livraison des cartons de vaisselles appartenant à la compagnie. A 11H30, je commandais en Roumain mon dernier taxi. Chargé de 2 gros sacs et d’un petit, je parcourai les derniers kilomètres de notre aventure en Roumanie me demandant quand je retournerai là bas: peut être jamais mais dans ces moments là, il est préférable de se dire que ce n’est qu’un au revoir. Arrivé 2h15 minutes avant le départ de mon vol pour assurer le coup (l’aéroport de Baneasa pouvant en effet plus ressembler à une foire qu’à un aéroport, il est toujours préférable de prévoir un peu plus de temps car se frayer un chemin jusqu’au comptoir peut se révéler une vraie aventure surtout avec 3 sacs). Cette fois, pas de problème. Je m’enregistre facilement et passe la sécurité en moins de 20 minutes. C’était presque trop facile… et en effet, c’était trop facile. Bizarrement, à l’heure où mon vol doit partir toujours aucune annonce. C’est l’hiver, certains aéroports européen ont connu le pire récemment mais généralement à Bucarest, la neige et le froid, on sait géré. Oui mais les avions viennent d’ailleurs et pour le nôtre, c’est d’Italie. Il arrivera avec 3 heures de retard ! Ce n’est pas beaucoup mais attendre dans la salle d’embarquement (= hangar) de cet aéroport pendant plus de 5h, c’est très long d’autant que ce n’était pas le seul vol en retard d’où un manque de place dans l’hangar = pas de siège, peu d’informations, une chaleur infernal, un seul petit snack / bar, des gens partouts, et certains qui s’énervent… La dernière scène à laquelle j’ai assisté en Roumanie fût donc une scène mémorable ! Etant donné que le retard ne fut pas annoncé sur le site web, Jenny et ma mère qui devaient venir me chercher dans l’autre “aéroport hangar” (Beauvais) durent attendre plus de 3 heures. Heureusement, il y a des magasins dans le centre de Beauvais… A 19h environ, j’étais de retour sur le sol français et picard. Neige, froid, et humidité étaient également présent pour m’accueillir. Si Jenny et moi étaient habitués aux 2 premiers, l’humidité a été vraiment difficile à subir et d’ailleurs très vite nous allions en faire les frais… Enfin, nous étions tous les 2 en France, et nous pouvions réellement démarrer notre aventure.

Jenny arriva en France le 21 Décembre, le jour de l’hiver et elle eut la surprise de trouver l’aéroport sous la neige si bien que son vol à l’origine à l’heure fût retardé à l’arrivée lorsque les agents de l’aéroport de Beauvais euent besoin de temps pour déneiger la passerelle permettant la descente (aucun commentaire sur le fait qu’ils auraient pu le faire avant…). Le même jour, notre déménagement était dans la rue. Le chauffeur, seul, avait fait la route durant le week end et était arrivé la veille du jour attendu et donc allait dormir dans son camion avant de décharger le lendemain. Quant à moi, je profitais de mon avant dernier jour au travail pour continuer la préparation de mon départ, et célébrer avec les collégues qui ont le plus compté pour moi : déjeuner avec tous mes managers, et soirée chaleureuse et arrosée avec mes 2 bras droits ces dernières années Raul et George jusqu’à 1 heure du mat’. Le 22 Décembre, le camion fût donc déchargé sans encombre, une belle étape de faite! Alors que je passais mon dernier jour au travail à Bucarest (voir post correspondant), Jenny commençait à organiser notre futur séjour sur Amiens qui allait être notre camp de base pour les 6 prochaines semaines. Le 23 Décembre, je disais un au revoir final à notre appartement à Bucarest et donc rendait les clefs au propriétaire. Evidemment un peu de nostalie au moment de fermer la porte mais en fait je n’ai pas vraiment eu le temps d’y penser car le programme de ce dernier jour était très chargé: nettoyage final, préparation de mes bagages (et faire tout rentrer dans 2 sacs ne fût pas si facile), échange de mes derniers RON (la monnaie roumaine), livraison des cartons de vaisselles appartenant à la compagnie. A 11H30, je commandais en Roumain mon dernier taxi. Chargé de 2 gros sacs et d’un petit, je parcourai les derniers kilomètres de notre aventure en Roumanie me demandant quand je retournerai là bas: peut être jamais mais dans ces moments là, il est préférable de se dire que ce n’est qu’un au revoir. Arrivé 2h15 minutes avant le départ de mon vol pour assurer le coup (l’aéroport de Baneasa pouvant en effet plus ressembler à une foire qu’à un aéroport, il est toujours préférable de prévoir un peu plus de temps car se frayer un chemin jusqu’au comptoir peut se révéler une vraie aventure surtout avec 3 sacs). Cette fois, pas de problème. Je m’enregistre facilement et passe la sécurité en moins de 20 minutes. C’était presque trop facile… et en effet, c’était trop facile. Bizarrement, à l’heure où mon vol doit partir toujours aucune annonce. C’est l’hiver, certains aéroports européen ont connu le pire récemment mais généralement à Bucarest, la neige et le froid, on sait géré. Oui mais les avions viennent d’ailleurs et pour le nôtre, c’est d’Italie. Il arrivera avec 3 heures de retard ! Ce n’est pas beaucoup mais attendre dans la salle d’embarquement (= hangar) de cet aéroport pendant plus de 5h, c’est très long d’autant que ce n’était pas le seul vol en retard d’où un manque de place dans l’hangar = pas de siège, peu d’informations, une chaleur infernal, un seul petit snack / bar, des gens partouts, et certains qui s’énervent… La dernière scène à laquelle j’ai assisté en Roumanie fût donc une scène mémorable ! Etant donné que le retard ne fut pas annoncé sur le site web, Jenny et ma mère qui devaient venir me chercher dans l’autre “aéroport hangar” (Beauvais) durent attendre plus de 3 heures. Heureusement, il y a des magasins dans le centre de Beauvais… A 19h environ, j’étais de retour sur le sol français et picard. Neige, froid, et humidité étaient également présent pour m’accueillir. Si Jenny et moi étaient habitués aux 2 premiers, l’humidité a été vraiment difficile à subir et d’ailleurs très vite nous allions en faire les frais… Enfin, nous étions tous les 2 en France, et nous pouvions réellement démarrer notre aventure.



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